OMAR KOSSOKO EN VUE

FOOTBALL / La réserve de l'ASC se rassure

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Kossoko et Rabihou duo gagant pour l'Amiens SC.
La réserve de l'Amiens SC, mal en point et en mal de points, a su réagir lors de son match en retard à Saint-Quentin.
Les protégés de Dominique Leclercq ont empoché la mise du derby picard entre bas de tableau en faisant preuve de sérieux ; qualité soulignée par leur entraineur : « Dans ma causerie d'avant-match j'avais placé les garçons devant leurs responsabilités en les invitant à se battre – comme on le fait en Coupe – face à un concurrent direct au maintien. Mon message a été reçu ».

Kossoko en vue

Le « boss » amiénois fut vite rassuré car à la demi-heure sa formation avait déjà assuré ses arrières, sous la houlette de ses cinq professionnels qui ont tous rempli leur contrat, à l'image de quelques espoirs du cru.
L'un d'eux, un revenant de blessure, a particulièrement brillé de sa classe naturelle : Omar Kossoko.
Auteur rapidement du premier but à la suite d'un débordement en dribble avec un vrai geste de finisseur, il fut à l'origine du second inscrit par Amadou Rabihou. En effectuant un pressing sur le stoppeur local Dibi, il le poussa à la faute pour offrir un « caviar payant » à son avant-centre.
En totale confiance, suite à cet avantage au tableau d'affichage, la Marie-Louise de l'ASC a ensuite géré les débats en patron. Solide dans l'ensemble de ses lignes il n'y aurait pas eu à crier au scandale si elle avait corsé l'addition… toujours et encore par Kossoko.
Sur un centre de Roy Contou, il oubliait le ballon, étrangement seul au point de pénalty.
Le libero Ducateau lui enlevait le bonheur de conclure (45e).
La fatigue aidant, le n° 10 amiénois s'emmêlait les pinceaux avant d'être taclé au bout d'un slalom de 50 m, à bout portant, suite à un échange avec Contou (65e).
La fin de rencontre fut moins à l'avantage des Amiénois mais rien ne pouvait leur arriver ; la preuve, le score n'évoluait pas malgré un forcing saint-quentinois : « A travers un jeu direct, ils nous ont contraints à reculer, donc à être moins productifs. C'est la raison pour laquelle le contenu de notre deuxième période fut inférieur en qualité à la précédente », estime Dominique Leclercq qui attend confirmation samedi prochain contre Roye pour un nouveau derby, cette fois au caractère purement départemental.
BURON. – Antoine Buron respire, il a joué 64 minutes à Saint-Quentin en retrouvant « les sensations de la compétition » : « C'est important », souligne « Mobylette » qui sait le travail lui restant à faire pour retrouver le rythme de la L2 après une pubalgie l'ayant écarté 4 mois des terrains.




Articlé paru le : 4 février 2008

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je crois que tant qu'un joueur n'a pas officiellement accepté de jouer pour les ecureuils et proter le maillot jaune, on a rien a foutre de ses perfomances. Quand ils sont bon, ils ne veulent pas jouer pour le benin par contre quand ils sont moyen oui!!!
je crois que tant que des joueurs comme kossoko, fanni, teko et autres attendront a la porte d'autres equipes national "meilleurs" pour eux on ne veut pas savoir ce qu'ils foutent dans leurs clubs!!!!!!!!